Ces séries télé qui sentent bon l’empowerment féminin

l'empowerment féminin
Avec la sortie de la série française Speakerine, qui retrace le parcours de Christine Beauval, femme à l’ambition maltraitée par la misogynie ambiante des années 60, l’envie nous est venue de faire un point sur ces séries télé qui prônent l’empowerment féminin.

La libération par le travail

“Speakerine”, nouvelle série française diffusée sur France 2, nous fait vivre le quotidien d’une icône du petit écran adulée puis malmenée par le monde violent et masculin de la télévision des années 60 parce que trop ambitieuse. L’ambition, c’est aussi le moteur d’Alicia Florick, alias “The Good Wife”, qui tente de se détacher du scandale lié à son mari en se lançant dans une carrière d’avocate. l’empowerment féminin

À ne pas bouder non plus la série espagnole “Les demoiselles du téléphone”, qui nous fait voyager en 1928 à Madrid où quatre femmes s’installent à la capitale et osent changer de vie pour travailler dans une entreprise de télécommunication.

Pas d’âge pour s’émanciper l’empowerment féminin

Si la série « Girls », portée par la très engagée Lena Dunham continue de faire figure de proue dans la culture Girl Power avec ces quatre amies vivant leur vingtaine à New York, c’est “Grace et Frankie” qui retient notre attention. Car il n’y a pas d’âge pour s’émanciper, qu’il n’y a pas d’âge pour vivre une vie de femme et non pas d’épouse, et que suivre ces deux femmes de 70 ans, lâchées par leurs maris, est une bouffée d’air frais et de positivisme. l’empowerment féminin

Les femmes, fortes en tout temps, en tous lieux

Comment ne pas mentionner la désormais culte “Orange Is The Bew Black” qui nous fait partager le quotidien de femmes détenues aux histoires touchantes et au quotidien violent qui impose une force de caractère hors norme. Des femmes confrontées les unes aux autres, aux hommes aussi, et devant s’adapter à un nouvel ordre établi où les codes et les acquis de leurs anciennes vies n’ont plus aucune valeur mais où la féminité, le désir et le romantisme subsistent au milieu du chaos.

Autre ambiance avec “Glow” et l’histoire de Ruth, actrice au chômage, qui trouve enfin sa place dans un show de catcheuses réunissant ces femmes des années 80 loin des clichés de leur époque et prêtes à s’imposer dans un milieu ultra masculin.

Le féminisme dans la dystopie

Mise en images du roman de Margaret Atwood, ‘The Handmaid’s Tale’ présente un futur dystopique où la femme est plus que jamais au service de l’homme, et où sa condition est déterminée par sa fertilité et le statut social de son époux. Pourtant, malgré les humiliations et les sévices, l’héroïne ne cesse de se révolter contre ce système rétrograde et inhumain quitte à se mettre en péril.

 

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